Division de la patrouille

L’Unité des victimes et témoins compte deux travailleuses sociales à temps plein et une équipe d’environ 25 bénévoles. Cette unité a pour mission de répondre aux besoins des victimes et des témoins d’actes criminels, de garantir leur droit à l’information, et de leur assurer un traitement équitable et respectueux. Ses membres sont disponibles 24 heures sur 24 pour aider les victimes et les témoins impliqués dans des situations d’urgence. Leur rôle consiste également à préparer et à accompagner les victimes et les témoins qui doivent comparaître dans un tribunal.

Les bénévoles interviennent sur place dans les situations de crise, répondent aux demandes de renseignements, apportent leur assistance dans la formation et l’encadrement des nouveaux bénévoles, et participent aux différents événements et activités de proximité. Pour avoir de plus amples renseignements sur les possibilités de bénévolat auprès de nos Services aux victimes et témoins, téléchargez le document qui se trouve sous « Documents connexes », à droite.

Plus d'informations sur les services d'aide aux victimes et aux témoins (PDF)

La Coordonnatrice en santé mentale fournit aux patrouilleurs et aux coordonnateurs des programmes des services à la jeunesse et de la section sur la violence entre partenaires intimes, du soutien en matière de santé mentale. En collaboration avec les services communautaires, elle oriente vers des programmes d’aide et de traitement les personnes qui entrent en contact avec la police à cause de crises de santé mentale.

Le coordonnateur ou la coordonnatrice des services à la jeunesse travaille directement auprès des jeunes, des parents, des tuteurs, des familles et des aidants qui sont en contact avec la Force policière de Fredericton (FPF) dans le but d’apporter soutien et assistance en matière d’atténuation des risques, d’orienter les personnes concernées vers les bons services et d’alléger ainsi l’action de la police.

Il s’associe à différents acteurs et prestataires de services pour élaborer des stratégies de prévention, des stratégies d’intervention précoce et à long terme, et mener des actions pour instaurer des changements structurels qui permettront de créer un environnement plus propice pour nos jeunes.

Ses responsabilités l’amènent également à représenter la FPF dans différents comités et conseils d’administration, et dans le cadre d’initiatives du système de justice pour la jeunesse.

L’agent de liaison communautaire (ALC) a pour responsabilité de prévenir et réduire la criminalité par des actions de sensibilisation, et aussi d’élaborer et entretenir des partenariats de proximité avec la population.

Le mandat de l’ALC est de répondre aux besoins de la collectivité locale dans son ensemble et à ceux de certains groupes de population bien ciblés (jeunes, personnes âgées, communautés multiculturelles, nouveaux arrivants au Canada).

L’ALC agit aux côtés de la Première Nation Saint Mary’s pour construire des relations productives et assurer des services de police adaptés sur le plan culturel auprès de la communauté autochtone.

Les responsabilités de l’ALC consistent à agir comme agent de liaison multiculturelle désigné au sein du service et à mettre en place des actions de concertation et de sensibilisation auprès de différents publics de la ville. À ce titre, il est le représentant du Comité consultatif sur la diversité culturelle (CCDC) de la Force policière de Fredericton (FPF) et assure la liaison avec les différents groupes culturels de la ville.

L’ALC sert d’interlocuteur avec les écoles et les établissements d’enseignement supérieur et coordonne également la participation de la FPF aux événements organisés localement destinés à favoriser les échanges de proximité.

Deux agents de liaison communautaire travaillent actuellement aux Services communautaires intégrés et partagent toute une palette de devoirs et de responsabilités.

Au Nouveau-Brunswick, la Loi sur l’intervention en matière de violence entre partenaires intimes (VPI) précise que la « violence entre partenaires intimes » s’entend de la violence que commet une personne contre une autre personne avec laquelle elle entretient ou a entretenu une relation personnelle intime et s’entend également : (intimate partner violence)

1. d’un comportement abusif, menaçant, harcelant ou violent employé comme moyen pour contraindre, dominer et contrôler psychologiquement, physiquement, sexuellement ou financièrement l’autre personne formant la relation;

2. d’une privation de nourriture, d’habillement, de soins médicaux, de logement, de transport ou de toutes autres nécessités de la vie.

Le coordonnateur ou la coordonnatrice en violence entre partenaires intimes (VPI) a pour responsabilité principale de surveiller et d’évaluer le programme à l’interne. Son rôle consiste également à s’associer à d’autres organisations pour élaborer et mettre en œuvre des stratégies proactives à court et à long terme visant à réduire ces formes de violence. Il lui appartient par ailleurs de fournir de l’information et de donner des formations autour du sujet de la violence entre partenaires intimes auprès des publics internes et externes, et d’assurer la mise en place et la promotion, au sein de la FPF, de pratiques prenant en compte les traumatismes subis.

Le coordonnateur ou la coordonnatrice VPI travaille en étroite collaboration avec les personnes et les familles ayant connu des situations de violence entre partenaires intimes et leur apporte son soutien. Ses fonctions s’accompagnent d’une forte dimension de proximité et consistent à jouer un rôle de défense des droits et des intérêts, à mener des actions auprès de la population pour instaurer des changements structurels et contribuer à réduire cette forme de violence. Ses responsabilités l’amèneront également à représenter la FPF dans plusieurs conseils d’administration et comités locaux et provinciaux en matière de VPI et de violence familiale.